Notre animal domestique ? Un membre de la famille pour beaucoup d’entre nous

Woufbox, une filiale de AwesomePetCo, a réalisé une étude portant sur la relation des Français avec leurs animaux domestiques. Beaucoup d’entre eux considèrent leur animal comme un membre de la famille, voire comme un enfant.

Woufbox, une marque du groupe AwesomePetCo qui propose des box pour animaux, est à l’origine de ce sondage réalisé auprès de 1 002 personnes possédant un animal de compagnie. Elles ont répondu à un questionnaire visant à en savoir plus sur leur vie quotidienne avec leurs adorables petites bêtes.

Un premier constat flagrant porte sur la place de l’animal au sein du foyer : 94 % des répondants avouent qu’ils considèrent leur animal domestique comme un membre de la famille à part entière. Et ce, autant pour les familles que pour les personnes vivant seules. Certains vont même jusqu’à le voir comme un de leurs enfants (54 %).

Là où l’ensemble des sondés se retrouvent également, c’est sur la manière d’interagir avec leur animal : 91 % d’entre eux admettent qu’ils parlent à leurs petites bêtes comme s’il s’agissait de vraies personnes. Là aussi, c’est une tendance que l’on rencontre dans tout type de foyer, de la famille aux personnes vivant seules.

En revanche, des disparités se notifient sur d’autres sujets. Par exemple, à la question "Laissez-vous un ou plusieurs animaux dormir dans votre lit ?", 36 % ont répondu que oui. Parmi eux, les personnes célibataires sont plus nombreuses à avoir cette habitude, plus précisément les femmes (46 % contre 38 %).

Du côté de l’alimentation, tout le monde n’est pas d’accord non plus. Si 45 % des familles nourrissent leur animal en leur donnant de la nourriture adaptée, 66 % des hommes et 61 % des femmes célibataires ne le font pas et leur donne la même nourriture qu’eux.

Lorsque l’on en vient à parler de leur perte, la majorité des participants déclare être touché par la disparition de leur petit compagnon, mais pas tous au même degré. Pour la plupart, la perte d’un animal est aussi touchante que celle d’un humain (48 %). Mais beaucoup, plus spécifiquement les femmes célibataires, sont davantage affectés par la disparition de leur animal domestique que de celle d’une personne.